Icone FGTB Bruxelles Qui sommes-nous ?

La FGTB, un syndicat de travailleurs pour les travailleurs
La FGTB, Fédération Générale du Travail de Belgique, est un syndicat de travailleurs se regroupant pour défendre leurs droits. Nous portons les valeurs socialistes mais restons indépendants des partis politiques.

Nous défendons les intérêts de nos membres par tous les moyens légaux possibles pour rendre la société plus égalitaire et plus juste sur les plans démocratique, politique, économique et social.

La FGTB Bruxelles est une des trois interrégionales de la FGTB, mais avec la particularité de compter en son sein l’unique régionale bruxelloise de la FGTB Bruxelles qui couvre, elle aussi, le territoire de la Région de Bruxelles Capitale.

  • L’interrégionale bruxelloise de la FGTB est en charge de la conduite de la politique syndicale à Bruxelles. Elle exprime aussi une sensibilité bruxelloise sur les dossiers fédéraux : sécurité sociale, fiscalité, services publics…
  • La structure régionale de la FGTB Bruxelles s’occupe d’assurer les services aux affiliés (chômage, formation, aide sociale…).

Au travers de ces deux structures, la FGTB Bruxelles appuie, sur Bruxelles, l’action des six Centrales professionnelles de la FGTB.

La FGTB, une organisation démocratique
En tant qu’organisation démocratique, les décisions et les orientations de la FGTB Bruxelles sont le fruit d’un processus qui va de la base vers le sommet.

Le Congrès de la FGTB Bruxelles est l’instance souveraine. Il se réunit tous les quatre ans et fixe les orientations pour les années à venir.

Entre deux Congrès, c’est le Bureau Interrégional (BIR) qui précise la ligne politique que la FGTB Bruxelles met en œuvre. Ce dernier est composé de représentants bruxellois des différentes Centrales professionnelles.

La Secrétaire générale de la FGTB Bruxelles veille pour sa part à la mise en œuvre des décisions prises par le Bureau.

La FGTB, le Syndicat dans la ville
La FGTB est, au quotidien et sous de multiples formes, au cœur de la vie bruxelloise : elle assure son rôle de contre-pouvoir politique à Bruxelles et elle est un interlocuteur important de la scène politique régionale.
Quand l’intérêt des travailleurs le commande, la FGTB de Bruxelles intervient dans un certain nombre de dossiers concrets au travers d’une participation active au dialogue économique et social, organisé autour du gouvernement régional, des patrons et des syndicats bruxellois.

Les dossiers sont étudiés et la FGTB en fait la critique syndicale pour sensibiliser le monde politique, les médias et les acteurs associatifs aux enjeux syndicaux… De plus, quand cela s’impose, elle pèse de tout son poids  (180 000 membres) dans la décision politique et porte la voix des travailleurs bruxellois au sein de diverses instances d’avis et de gestion mises en place par les pouvoirs publics : le Conseil Economique et Social de la Région de Bruxelles-Capitale, le Comité bruxellois de concertation économique et sociale, ACTIRIS, Bruxelles Formation (IBFFP), la Société de Développement pour la Région de Bruxelles-Capitale (SDRB), L’ Agence Bruxelloise pour l’Entreprise (ABE), etc.

Les dossiers peuvent concerner autant la Réforme de l’État que des enjeux plus précis comme la défense des chômeurs ou encore le droit du travail dans le secteur des marchés publics…

Grâce au bureau d’études et à l’école syndicale, la FGTB de Bruxelles a pu développer, avec les centrales professionnelles et leurs militants, ses propres analyses des enjeux du développement et de la croissance urbaine, en publiant des dossiers politiques, en en débattant à l’occasion de forums et de conseils syndicaux, en organisant de nombreux séminaires de formation.
De manière générale, la FGTB de Bruxelles a pour vocation d’armer – via la sensibilisation, l’éducation permanente et la formation – les travailleuses et les travailleurs de Bruxelles contre la pensée unique néolibérale.

Outre l’implication dans la vie institutionnelle bruxelloise, il s’agit aussi de tisser un large réseau de partenariats avec les mouvements associatifs et un bon nombre d’organisations non gouvernementales dans le double but de nouer des alliances progressistes et de constituer des plates-formes d’action commune, via Lire et Ecrire (alphabétisation), le CIRE (accueil des migrants), le Collectif Solidarité contre l’Exclusion, le GRESEA (alternative économique), le Front du logement, par exemple.

Il s’agit enfin des petites et grandes manifestations de protestation contre l’austérité, de dénonciation de la chasse aux chômeurs, de soutien aux sans-papiers, de défense des droits des intérimaires ou encore de sensibilisation de la population à l’égalité salariale homme-femme.

Toutes ces activités illustrent comment la FGTB de Bruxelles agit politiquement et vient en appui à l’action de défense collective des travailleurs menée, par les centrales professionnelles, dans les entreprises et dans les administrations bruxelloises.